« Constantin sourit silencieusement, en homme à qui ces aventures sont familières, fit claquer son fouet, rassembla les guides ; et, tandis que le valet debout devant la remise grommelait :

« Ont-ils de la chance, ces conducteurs, voilà pourtant sa troisième en un mois !... » le coursier tressautant, tournait au grand galop les dernières maisons du village, et, visible encore quelque temps, grâce au reflet de son fanal qu'on voyait courir sur la route, s'évanouissait peu à peu dans la nuit claire, semée d'étoiles. »

 

Cette «  troisième » est une jeune femme qui est montée dans la patache, quelque peu à l'insu du conducteur.
La suite de la nouvelle est joliment tournée et c'est en douceur mais encore un peu au galop, que Paul Arène termine sa nouvelle.     


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