Ma Cousine Jane
Enregistrement : Audiocite.net
Publication : 2017-12-22
Lu par Daniel Luttringer
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« Ma Cousine Jane » a été publié par la Revue des Deux Mondes en août 1879 avec cet apostille :
« Cette nouvelle est tirée du joli recueil intitulé « Forget-me-nots » publié récemment après la mort de son auteur, miss Kavanagh, un romancier anglais de beaucoup de talent et très sympathique à la France, qui garde son tombeau. Nous pensons, en publiant ces quelques pages, inspirer au lecteur le désir de connaître le reste d'une oeuvre remarquable par le plus délicat parfum de grâce et de pureté. »
Le début : « Quand ma cousine vint, un beau matin, me dire du petit air gauche qui lui était particulier : — Cousin William, M. Forbes a demandé ma main, et j'ai dit oui, — je pensai qu'il fallait que je fusse un bien vieux cousin, un cousin ne comptant plus du tout aux yeux d'une jeune fille, pour qu'on me jugeât digue de recevoir le premier une pareille confidence.
Cette nouvelle me fit plaisir et chagrin tout à la fois : plaisir par la raison qu'il s'agissait d'un excellent parti ; chagrin parce que je songeai que M. Forbes allait emmener notre Jane.
Ce que c'est que l'ëgoïsme ! »
Traduction anonyme
Source: http://www.revuedesdeuxmondes.fr/article-revue/aout-1879-6/
« Cette nouvelle est tirée du joli recueil intitulé « Forget-me-nots » publié récemment après la mort de son auteur, miss Kavanagh, un romancier anglais de beaucoup de talent et très sympathique à la France, qui garde son tombeau. Nous pensons, en publiant ces quelques pages, inspirer au lecteur le désir de connaître le reste d'une oeuvre remarquable par le plus délicat parfum de grâce et de pureté. »
Le début : « Quand ma cousine vint, un beau matin, me dire du petit air gauche qui lui était particulier : — Cousin William, M. Forbes a demandé ma main, et j'ai dit oui, — je pensai qu'il fallait que je fusse un bien vieux cousin, un cousin ne comptant plus du tout aux yeux d'une jeune fille, pour qu'on me jugeât digue de recevoir le premier une pareille confidence.
Cette nouvelle me fit plaisir et chagrin tout à la fois : plaisir par la raison qu'il s'agissait d'un excellent parti ; chagrin parce que je songeai que M. Forbes allait emmener notre Jane.
Ce que c'est que l'ëgoïsme ! »
Traduction anonyme
Source: http://www.revuedesdeuxmondes.fr/article-revue/aout-1879-6/
Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Art Libre.
Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons BY (attribution) SA (Partage dans les mêmes conditions).
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Commentaires :
Message de Khédy
MERCI MERCI Mr LUTTRINGER
MERCI MERCI Mr LUTTRINGER
une belle voix et les histoires passionnantes merci beaucoup