Voyages, aventures et combats (Première partie)
Enregistrement : Audiocite.net
Publication : 2019-06-02
Lu par Daniel Luttringer
Livre audio de 9h04min
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Ambroise Louis Garneray, né le 19 février 1783 à Paris où il est mort le 11 septembre 1857, est un corsaire, peintre de marine, dessinateur, graveur et écrivain français, précurseur du roman d'aventure maritime. Il connut une vie d’aventurier avec Surcouf et Dutertre, il fut huit ans prisonnier des Britanniques.
Le début : « Je suis né à Paris le 19 février 1783. mon père, dont le nom figure honorablement dans les biographies des contemporains, me destinait à suivre sa carrière. Un penchant irrésistible à Paris le 19 février 1783. Mon père, peintre de genre, dont que je ressentais pour les aventures et les voyages, un enthousiasme pour la gloire, partagé, au reste, par la jeune génération de cette époque, enthousiasme qui me brûlait le sang et me présentait sans cesse, pendant mes journées et mes nuits, des pensées et des rêves de combats, s’opposèrent à la réalisation des désirs de mon père. »
Source: http://www.bibebook.com/files/ebook/libre/V2/garneray_louis_-_voyages_aventures_et_combats.pdf
Le début : « Je suis né à Paris le 19 février 1783. mon père, dont le nom figure honorablement dans les biographies des contemporains, me destinait à suivre sa carrière. Un penchant irrésistible à Paris le 19 février 1783. Mon père, peintre de genre, dont que je ressentais pour les aventures et les voyages, un enthousiasme pour la gloire, partagé, au reste, par la jeune génération de cette époque, enthousiasme qui me brûlait le sang et me présentait sans cesse, pendant mes journées et mes nuits, des pensées et des rêves de combats, s’opposèrent à la réalisation des désirs de mon père. »
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Commentaires :
Message de La Fée Coupaille
Cher Daniel, MERCI pour cette brillantissime et émouvante lecture qui me touche particulièrement, mais cela je vous l'expliquerai sur un autre canal. quelle peinture - presque au sens propre ! - des mœurs maritimes de l'époque et au final...le tableau n'est guère flatteur. Beaucoup de souffrances, de privations et de misère pour un gain quasi nul. Certes, on me rétorquera que l'aventure vécue est sans prix, c'est un peu trop facile. Jamais plus qu'au travers de ce récit on se rend compte que la marine a toujours était le parent pauvre des armées... et les exigences... exorbitantes, extravagantes, sans rapport aucun avec la réalité du terrain. Combien j'eusse aimé voir ces beaux ministres s'embarquer à leur tour... sans toucher le moindre appointement et livrés aux caprices de la mer. Tant d'hommes ont donné le meilleur d'eux-mêmes... pour rien ! Que le gâchis ! C'est à frémir. C'est pour cela que ce récit est si utile. Le portait de Surcouf est savoureux. Il est simplement dommage que Garneray n'ait pas mis ses pas dans les siens ; son destin eût été tout différent. Bien sûr, inutile de le céler, le récit est âpre, pénible, déprimant, mais c'est aussi ce qui en fait sa force. Et tant mieux s'il a été réécrit... un tel tel témoignage ne devait pas se perdre. Je m'en vas poursuivre mon commentaire sur l'autre tome. Encore MERCI à vous !!!
Cher Daniel, MERCI pour cette brillantissime et émouvante lecture qui me touche particulièrement, mais cela je vous l'expliquerai sur un autre canal. quelle peinture - presque au sens propre ! - des mœurs maritimes de l'époque et au final...le tableau n'est guère flatteur. Beaucoup de souffrances, de privations et de misère pour un gain quasi nul. Certes, on me rétorquera que l'aventure vécue est sans prix, c'est un peu trop facile. Jamais plus qu'au travers de ce récit on se rend compte que la marine a toujours était le parent pauvre des armées... et les exigences... exorbitantes, extravagantes, sans rapport aucun avec la réalité du terrain. Combien j'eusse aimé voir ces beaux ministres s'embarquer à leur tour... sans toucher le moindre appointement et livrés aux caprices de la mer. Tant d'hommes ont donné le meilleur d'eux-mêmes... pour rien ! Que le gâchis ! C'est à frémir. C'est pour cela que ce récit est si utile. Le portait de Surcouf est savoureux. Il est simplement dommage que Garneray n'ait pas mis ses pas dans les siens ; son destin eût été tout différent. Bien sûr, inutile de le céler, le récit est âpre, pénible, déprimant, mais c'est aussi ce qui en fait sa force. Et tant mieux s'il a été réécrit... un tel tel témoignage ne devait pas se perdre. Je m'en vas poursuivre mon commentaire sur l'autre tome. Encore MERCI à vous !!!
Un livre que j'ai lu il y a bien longtemps. Ainsi que les suites ou l'on pourra croiser Surcouf et aussi vivre sur les pontons, prisons flottantes au large des côtes anglaises. Cet audio est pour le départ en vacances en voiture, beaucoup de route en perspective, on prend le large...avec mes garçons...j'espère qu'ils apprécieront ce fabuleux récit authentique, réel, vécu. Un voyage dans notre voyage.