Le naturaliste Jean-Baptiste de Monet, chevalier de Lamarck, est le fondateur de la paléontologie des invertébrés. Considérant qu'une espèce peut se transformer en une autre espèce sous l'influence de son environnement, il est l'un des premiers à envisager l'évolution du vivant. Cette théorie transformiste repose notamment sur l'hérédité des caractères acquis et s'oppose, à l'époque, à la fixité des espèces défendue par Georges Cuvier.

 Article signé du naturaliste et zoologiste Edmond Perrier (1844-1921), paru dans le supplément littéraire du Figaro le 12 octobre 1907.