La guerre du feu
Enregistrement : Audiocite.net
Publication : 2018-02-12
Lu par Raminagrobis
Livre audio de 5h57min
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D"après une image issue du site : http://www.fond-ecran.net/fond-feu_003.html
La mort du Feu
Les Oulhamr fuyaient dans la nuit épouvantable. Fous de souffrance et de fatigue, tout leur semblait vain devant la calamité suprême : le Feu était mort. Ils relevaient dans trois cages, depuis l'origine de la horde ; quatre femmes et deux guerriers le nourrissaient nuit et jour.
Dans les temps les plus noirs, il recevait la substance qui le fait vivre ; à l'abri de la pluie, des tempêtes, de l'inondation, il avait franchi les fleuves et les marécages, sans cesser de bleuir au matin et de s'ensanglanter le soir. Sa face puissante éloignait le lion noir et le lion jaune, l'ours des cavernes et l'ours gris, le mammouth, le tigre et le léopard ; ses dents rouges protégeaient l'homme contre le vaste monde. Toute joie habitait près de lui. Il tirait des viandes une odeur savoureuse, durcissait la pointe des épieux, faisait éclater la pierre dure ; les membres lui soutiraient une
douceur pleine de force ; il rassurait la horde dans les forêts tremblantes, sur la savane interminable, au fond des cavernes. C'était le Père, le Gardien, le Sauveur, plus farouche cependant, plus terrible que les mammouths, lorsqu'il fuyait de la cage et dévorait les arbres.
Source: http://ebook-gratuit-francais.com/ebook
Les Oulhamr fuyaient dans la nuit épouvantable. Fous de souffrance et de fatigue, tout leur semblait vain devant la calamité suprême : le Feu était mort. Ils relevaient dans trois cages, depuis l'origine de la horde ; quatre femmes et deux guerriers le nourrissaient nuit et jour.
Dans les temps les plus noirs, il recevait la substance qui le fait vivre ; à l'abri de la pluie, des tempêtes, de l'inondation, il avait franchi les fleuves et les marécages, sans cesser de bleuir au matin et de s'ensanglanter le soir. Sa face puissante éloignait le lion noir et le lion jaune, l'ours des cavernes et l'ours gris, le mammouth, le tigre et le léopard ; ses dents rouges protégeaient l'homme contre le vaste monde. Toute joie habitait près de lui. Il tirait des viandes une odeur savoureuse, durcissait la pointe des épieux, faisait éclater la pierre dure ; les membres lui soutiraient une
douceur pleine de force ; il rassurait la horde dans les forêts tremblantes, sur la savane interminable, au fond des cavernes. C'était le Père, le Gardien, le Sauveur, plus farouche cependant, plus terrible que les mammouths, lorsqu'il fuyait de la cage et dévorait les arbres.
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Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Art Libre.
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C'est un roman qui, pour une fois, n'est pas vraiment une réussite. On se surprend à bailler tant parfois (souvent même), les descriptions des environnements, de la faune est fastidieux et parait bien répétitif. Bon, ce n'est certes pas facile de raconter ce genre d'histoire comme l'a pourtant fait de meilleure manière JJ Annaud dans son film, même s'il ne raconte pas vraiment la même chose. Et mettre du langage est évidement le piège d'un roman qui se veut par définition rempli de ...mots. Bref, je n'ai pas aimé, j'ai trouvé ça long, ennuyeux ...Mais la tâche n'était pas facile, loin s'en faut !