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KIPLING, RUDYARD – LA PORTE DES CENT MILLE PEINES (VERSION 2)
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Cet indolent récit d'un fumeur d'opium est extrait des Contes choisis édités en 1918.
« À la fin de la troisième pipe les dragons se mettaient à danser et à se battre. Je les ai suivis des yeux pendant bien des nuits, bien des nuits. Je réglais ma consommation là-dessus, et maintenant il me faut une douzaine de pipes pour les faire bouger. En outre, ils sont tout en loques et très sales, comme les nattes, puis le vieux Fung Tching est mort. Il mourut il y a deux ans, et me donna la pipe dont je me sers toujours maintenant, une pipe d’argent, avec des bêtes singulières qui rampent tout le long du réceptacle à la base du fourneau. »
Traduction : Louis Fabulet (1862-1933) et Robert d’Humières (1868-1915).
adresse de l'image :
https://www.wdl.org/fr/item/10753/view/1/1/
Source: https://fr.wikisource.org/wiki/La_Porte_des_cent_mille_peines
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