Dans la grotte de Saint Wulfran, les parois sont lisses et d'une grande blancheur, car, taillées dans la craie, elles sont fréquemment grattées par les bonnes femmes et nourrices qui, de dix lieues à la ronde, viennent recueillir la poussière destinée à guérir le carreau ou patte d'oie de leurs enfants.