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le récit de l'américain
(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)
Extrait :
« Elles étaient capables de… Mais, Dieu me damne, je vais trop vite.
C’était la mort de Joe Hawkins que je voulais votre raconter.
C’est bien la chose la plus étrange que vous puissiez jamais entendre.
Il n’y avait personne du Montana qui ne connût Joe Hawkins, Alabama Joe, comme on l’appelait là-bas.
C’était un homme de plein air, je vous en réponds, mais le plus damné putois qu’un homme ait jamais vu.
Un bon garçon, souvenez-vous en, tant que vous le caressiez dans le sens du poil, mais pour peu qu’on le blaguât, il devenait pire qu’un chat sauvage.
Je l’ai vu tirer ses six coups dans une foule d’hommes qui le bousculait pour l’entraîner dans le bar de Simpson, alors qu’une danse était en train, et il planta son bowie-knife dans Tom Hooper, parce que celui-ci lui avait versé par mégarde son verre sur son gilet.
Non, il ne reculait pas devant un assassinat, Joe, oh non, et il ne fallait pas avoir confiance en lui, tant que vous n’aviez pas l’œil sur lui.
Car, au temps dont je parle, alors que Joe Hawkins faisait le matamore par la ville et piétinait la loi sous son révolver, il y avait là un Anglais nommé Scott, Tom Scott, si je me souviens bien. »
Suivons ce récit…
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