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la femme et le pantin (chap10-11)
(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)
Toute la nuit j'errai sur les remparts. L'intarissable vent de la mer douchait ma fièvre et ma lâcheté. Oui, je m'étais senti lâche devant cette femme.Je n'avais que des rougissements en songeant à elle et à moi ; je me disais en moi même les pires outrages qu'on puisse adresser à un homme. Et je devinais que le lendemain je n'aurais pas cessé de les mériter.
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