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l'empreinte du pied nu

(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)

Lord Shelwing-Harsley était un grand collectionneur. Un jour, il invite Elsa à admirer sa galerie.
Elsa entra, et demeura éblouie, stupéfaite, devant ce qui s'offrait à ses yeux. Devant elle, sur un trône de porphyre rouge, que surélevaient cinq marches de basalte poli, était assise au centre de la salle, en pleine clarté, une déesse, nue, en granit rose, de grandeur naturelle, chef-d’œuvre de la statuaire égyptienne. A côté, un Saint-Jean Baptiste, de Léonard de Vinci, une étude pour la Fornarina, de Raphaël, et bien d’autres trésors.
Six mois après cette visite, Elsa recevait un coup de téléphone de Cécily, la nièce de Lord Shelwing-Harsley : « Venez vite ! Mon père a été volé ! Il en est bouleversé ! »


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