Retour au menu
Retour à la rubrique animaux
pensionnaires suivi de angoisse
(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)
« Essayez un peu de vivre sans moi ! murmura le vieillard, sentant que la colère quittait peu à peu son cœur. Qu'un autre s’occupe un peu de vous ! Moi, je suis avare et méchant..., on, est très mal chez moi... Eh bien, allez vivre chez un autre !... Oui... Après avoir savouré la mine piteuse de ses pensionnaires et grogné suffisamment, Zotofï sortit de la cour et, donnant à sa physionomie une expression aussi furieuse que possible, cria : Eh bien, qu'avez-vous à rester là ! Qui attendez-vous ? Vous ne faites que barrer la rue et empêcher la circulation du public. Rentrez dans la cour ! »
Deux nouvelles nous présentant des hommes en détresse, des animaux sur lesquels on s’énerve, pauvreté, désespoir, l’égocentrisme humain aussi, et, la vie animale si importante, deux nouvelles pour y réfléchir, aimer et respecter les bêtes, aimer et respecter autrui.
Retour à la rubrique animaux
Retour au menu