Prostré
Enregistrement : Audiocite.net
Publication : 2007-12-13
Lu par Ka00
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Note de l'auteur:
Libre est mon esprit, et pourtant, si encrée dans la réalité reste ma vie.
Une source, dont je ne sais le mystère, encre mon papier de rimes et de vers.
Des mots, reflets de maux qui forment ces vers, les façonnent et les libèrent.
Voilà ce que je suis.
Musique: Red Shank: "Syd"
Libre est mon esprit, et pourtant, si encrée dans la réalité reste ma vie.
Une source, dont je ne sais le mystère, encre mon papier de rimes et de vers.
Des mots, reflets de maux qui forment ces vers, les façonnent et les libèrent.
Voilà ce que je suis.
Musique: Red Shank: "Syd"
Jost Vincent
Prostré,
Je suis perdu dans les limbes de mon esprit
Même les yeux ouverts je ne vois que la nuit.
Mes maux sont comme le labyrinthe où j'ai fui,
Plus rien ne me touche, ne me blesse ou me nuit.
Ma tête était trop pleine, une larme a suffi
A débrancher les veines unissant mon esprit
A mon corps fatigué d'être toujours en vie
A devoir l'affronter sans plus même une envie.
Ainsi je suis inerte un peu comme un zombi,
Le temps passe et m'alerte et je reste accroupi
Attendant qu'on allège un peu plus mes soucis,
Qu'on tue ce sortilège et que meurt mon déni.
Je ne sais plus moi même ou, comment, qui je suis,
Je divague en dilemme et je cherche le cri
Qui m'ouvrira le corps balayant vers l'oubli
Le poids du désaccord qui m'enferma ici.
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Prostré,
Je suis perdu dans les limbes de mon esprit
Même les yeux ouverts je ne vois que la nuit.
Mes maux sont comme le labyrinthe où j'ai fui,
Plus rien ne me touche, ne me blesse ou me nuit.
Ma tête était trop pleine, une larme a suffi
A débrancher les veines unissant mon esprit
A mon corps fatigué d'être toujours en vie
A devoir l'affronter sans plus même une envie.
Ainsi je suis inerte un peu comme un zombi,
Le temps passe et m'alerte et je reste accroupi
Attendant qu'on allège un peu plus mes soucis,
Qu'on tue ce sortilège et que meurt mon déni.
Je ne sais plus moi même ou, comment, qui je suis,
Je divague en dilemme et je cherche le cri
Qui m'ouvrira le corps balayant vers l'oubli
Le poids du désaccord qui m'enferma ici.
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