Pendant la guerre de 1870, le jour de Rois, dix hussards investissent le village en ruine de Porterin et bivouaquent dans une maison bourgeoise abandonnée...

Durée: 23min; Fichier mp3 de 16 Mo

Un nouvelle fantastique de Ludovic Fortolis (1870-1948) parue dans la rubrique Contes de La Liberté du journal La Liberté du 16 avril 1924.
Durée: 06min; Fichier mp3 de 4 Mo

« Le marquis de Vaufrèges, parti très jeune pour Paris, n'était revenu à Aix que vers le milieu de sa vie et pour s'enfermer dans son hôtel. Il avait vécu, sombre et hypocondriaque, ne fréquentant personne, vieillard avant l'âge. On disait qu'il avait beaucoup aimé une femme qui était morte et à laquelle il pensait toujours. Il avait passé trente ans dans la solitude, entouré de souvenirs et des portraits de cette personne. »
Durée: 09min; Fichier mp3 de 6 Mo

Très jolie petite nouvelle… à découvrir…
« Toutes ces choses sont aujourd'hui bien loin, mais la vie, qui efface tout, n'efface point la mémoire de ces premiers et innocents plaisirs. A chaque année qui finit et qui recommence, on ne peut s'empêcher d'en évoquer l'image. »

Durée: 16min; Fichier mp3 de 15 Mo

Jack Cavendish brigadier-détective de Suva, tient sa proie. Patiemment, il a remonté la piste du Dr. Richardson, le médecin meurtrier. Il l’a enfin localisé dans le petit atoll de Ramirez. Dûment muni d’un « warrant », il entre dans le lagon à bord du schooner l’Arii, réquisitionné pour cette chasse (au grand déplaisir de Matias Larsen, son skipper). Mais parvenu dans l’atoll, il va découvrir… car dans les atolls, on ne sait jamais ce qui peut arriver ! Fidélité au devoir ou devoir de reconnaissance, peut-on échapper à son destin ?
Durée: 35min; Fichier mp3 de 25 Mo

Une nouvelle fantastique (quantique ?) de Jules Lermina parue dans La Terre illustrée le 17 janvier 1891.
Durée: 14min; Fichier mp3 de 9 Mo

Une nouvelle policière de Lillie Thomas Meade (1844-1914) et Clifford Halifax (1860-1921) parue en feuilleton dans Le Journal du 21 au 25 août 1909.

Durée: 52min; Fichier mp3 de 36 Mo

Au seuil de l’invisible, 07, Le Mystérieux Visiteur
Ce 31 décembre, une famille rentre chez elle et un monsieur attend leur retour.
Propos étranges, troublants.

Durée: 09min; Fichier mp3 de 07 Mo

« Vêtue de sombre, la voilette tirée sur la visage pâli par l'angoisse qui depuis dix jours la déchirait, Thérèse Civel se hâtait à travers les rues du vieux quartier qu'elle connaissait mal. Quand elle eut trouvé la maison elle s'arrêta au moment d'entrer et sa démarche, plus que jamais, lui apparut ridicule et indigne de son inquiétude. »

Durée: 09min; Fichier mp3 de 6 Mo

« Elle sonne, pendant que, par un beau jour, la vieille voiture de famille passe au i des genêts en fleurs et conduit les fiancés à l'église du village. L'air est léger et calme, les sons le traversent gaiement, puis se perdent au loin dans un long murmure... »
Durée: 07min; Fichier mp3 de 5 Mo

« Les explorateurs les plus audacieux, les plus aventureux marins nous étonnent moins que ces voyageurs stupéfiants que sont les poètes, les philosophes et les mathématiciens.

Durée: 12min; Fichier mp3 de 9 Mo

Une aventure loufoque d’un jeune homme et d’un perroquet gris.
Seul sur l’impériale d’un autobus qui rase les maisons, un jeune voyageur aperçoit un perroquet gris dans une cage accrochée à une fenêtre. Par plaisanterie, voulant agacer ‘oiseau, il tend la main… et, malencontreusement, un doigt tendu emporte la cage, et ce perroquet va causer bien des désagréments à son infortuné voleur… malgré lui.

Durée: 19min; Fichier mp3 de 17,5 Mo

Dialogue entre l'auteur et sa cousine.
Durée: 16min; Fichier mp3 de 11 Mo

« - Vous vous exercez sur Mme Francis Rayol, dit en souriant la mère. Jamais vous ne réussissez mieux que pour elle. Ses toilettes sont d'une distinction, d'une discrétion... Vous inventez des tons neutres qui se marient délicieusement.
- Je m'en vante, fit la couturière d'un ton un peu sec.
- Puis elle est si jolie ! s'écria Madeleine.
- Est-ce qu'on sait si elle est jolie ? Habillez-là en petite bourgeoise, et personne ne la remarquerait.
- Peut-être, insinua la maman, l'habillez-vous trop vertueusement pour le goût de son mari. On dit...
- On dit tant de choses, madame. Puis les maris de mes clientes ne me regardent pas... »
Durée: 1h15min; Fichier mp3 de 53 Mo

Georgette, Jeanne et Rose pensaient que Grand-mère avait toujours été vieille, sage et bonne. Or il fut un temps où ce n'était pas le cas. Pour leur éviter bien des déboires dans l'existence, Grand-mère, à raison d'un défaut par après-midi, leur raconte ceux qu'elle avait, ainsi que comment (et pourquoi) elle s'en est débarrassée.
Durée: 1h51min; Fichier Zip de 50,8 Mo (il contient des mp3)

« Un dîner géorgien est un repas où les petits buveurs boivent leur cinq ou six bouteilles de vins, et les grands leur douze ou quinze.
Quelques-uns ne boivent même pas à la bouteille, ils boivent à l'outre ; ceux-là vont à vingt ou vingt-cinq bouteilles... »
Durée: 08min; Fichier mp3 de 5 Mo

Pour le visiteur américain débarqué sur l'île McGill, au large de l'Irlande, Margaret Henan est un mystère. Pourquoi s'est-elle obstinée à donner le prénom de Samuel à quatre de ses fils, tous disparus tragiquement ?

Durée: 36min; Fichier mp3 de 26 Mo

Des jeunes gens passent quelques jours de fin décembre en montagne.
Ils décident de prolonger d’une journée…, mais voici la neige, le vent, le brouillard.
« Trois gestes enthousiastes lui répondirent.
— Trois contre un ! nous restons, c’est décidé ! répétait Marcel à son frère immobile.
— Est-ce bien sage ?
Nous affirmons que la seule sagesse est de prolonger des heures aussi belles.
— Revenir à Genève un jour plus tard, qu’importe ! Nos parents ne peuvent s’inquiéter. Je leur téléphonerai de Wasserauen.
Jean céda.
Cette journée fut la plus précieuse parce qu’elle nous semblait conquise, offerte par-dessus les autres, comme un don merveilleux. »

Durée: 29min; Fichier mp3 de 27 Mo

Une singulière nouvelle policière d'Edgar Wallace (1875-1932) parue dans Mystère Magazine.
Durée: 30min; Fichier mp3 de 21 Mo

« Il était gourmand ! Mais il était gourmand selon l'acception la plus distinguée du mot : son appétit ne ressemblait point à la voracité grossière et répugnante du gourmand vulgaire ; sa gourmandise était sensuelle et non gloutonne. Rien de plus agréable à sa vue, de plus suave à son odorat, de plus savoureux à son palais, qu'un mets délicatement assaisonné. Ce mets était-il une caille au salpicon, la figure du baron rayonnait de plaisir ; elle s'épanouissait jusqu'au ravissement si la caille au salpicon avait été accommodée par le cuisinier Jean. »
Durée: 24min; Fichier mp3 de 17 Mo