Commentaires


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Message de Daniel Luttringer
Merci à toutes, même si je pourrais écrire "tous", ce dernier étant neutre, non "genré" !


Message de Delphine
«Daniel-le-Bienheureux» : c'est ainsi qu'on vous préfère!*

-Cette fois-ci, les infos n'étaient pas très compliquées à trouver:
le bon vieux Wikipédia ! C'est un minimum, mais ça donne des pistes.




Message de Lora
En quelque sorte, il a réservé à Balzac le même sort que son personnage à la pauvre fée !


Message de Daniel-Le-Bienheureux
C'est (presque...) toujours un bonheur de lire Delphine, car elle vient avec des anecdotes, des infos glanées je sais pas où, mais pertinentes et enrichissantes ! Un grand merci.


Message de Delphine
Sandeau était un Jules tout à votre opposé, cher lecteur
«Daniel-le-vaillant-rustre-susceptible-qui-se-flagelle inutilement»...

--"En 1834, le « petit Jules » rencontra Balzac à qui il confia son désespoir après sa rupture avec George Sand, avouant qu'il envisageait de se suicider, qu'il était sans ressources et sans but. Balzac lui proposa de s'installer rue Cassini et de l'aider à rédiger un drame dont le scénario était déjà prêt : La Grande Mademoiselle. Mais la puissance de travail de Balzac effraya rapidement le jeune Sandeau qui se plaignait de ce « qu'il était réveillé en sursaut par le Titan désireux de me lire des pages fraîches du roman nouveau ou de m'atteler à la correction de ses innombrables épreuves.» Finalement, l'opinion de Balzac sur Jules Sandeau rejoignit assez vite celle de George Sand, qui avait jugé le petit Jules paresseux, nonchalant, sans volonté. Il put le vérifier en 1836, lorsque Jules Sandeau s'enfuit de la rue Cassini, laissant à son protecteur toutes ses dettes et un loyer impayé."
-Quand même- Jules Sandeau fut élu membre de l'Académie française au fauteuil 11." (où il put sans doute enfin roupiller en paix (^o^)

**Coucou Claryssandre !**


Message de Daniel Luttringer
Jules Sandeau dit : qu'as-tu fait de ta jeunesse ? Et vous, ihg, vous ajoutez : qu'as-tu fait de ta vieillesse ? Merci à vous !


Message de ihg
Jules Sandeau se trompe... il n'est jamais trop tard pour vivre, le bonheur se trouve à nos pieds prêt à être ramassé, il suffit d'écouter vos belles lectures Monsieur Luttringer.


Message de Daniel Luttringer
Je suis heureux de cette trouvaille, Claude ! Merci.


Message de Claude Fée
Quel beau texte, merci encore Daniel ! Une pépite de plus !


Message de Daniel Luttringer
Mais non, Claryssandre, je suis un rustre susceptible ! (((;◔ᴗ◔;)))


Message de Claryssandre
Un mot me vient en tête en écoutant cette nouvelle : délicatesse ! Jolie, délicate et touchante nouvelle porteuse d'un profond enseignement à méditer. D'accord avec Delphine (que je salue amicalement), merci pour le nom de la peintre. Je la découvre et j'adore ! Merci cher Daniel pour cette lecture aussi sensible et délicate que le texte. Bon week-end à vous, à tous.


Message de Daniel Luttringer
Oh ! Delphine, vous n'avez pas compris que c'était une boutade, du second degré, une TENDRE raillerie...!


Message de Delphine
Ce que vous êtes susceptible !


Message de Daniel-Le-Railleur
Je vous en prie, Delphine, et tant pis pour le texte de Jules Sandeau !


Message de Delphine
C'est bien que vous ayez inscrit le nom de la peintre !
Cela m'a permis d'aller voir la galerie de ses magnifiques œuvres !
Merci, cher Daniel !


Message de Jo
Cette histoire est touchante, elle nous parle de toutes les occasions que nous n'avons pas saisies, de tous les heureux hasards dont nous n'avons pas compris l'importance.
Les regrets qui ne servent à rien, le temps irrémédiablement perdu. Tristesse, nostalgie ! La voix de Daniel nous plonge dans nos propres regrets.


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