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Mois de mai, 1939, contexte particulier, aussi les fêtes religieuses, les souvenirs et tout le merveilleux talent de l’auteure…
« Ma vie est un présent perpétuel »
« Il y a, livrés à eux-mêmes, des lauriers hauts et ronds, portés sur de fines jambes noires, de la verveine à demi épuisée, des giroflées teintées de vin et de soleil, des aloès entre les pierres. Le bassin sec est couleur de soif, les chemins couleur d’absence. Le vent soulève des jonchées de palmes séchées couvrant le sol, le mimosa de mille houppes frotte doucement un pauvre mur, comme pour le farder d’or et lui faire croire qu’il vit. La maison me dit : Sais-tu où est la mer ? Mon jardin descendait tranquillement jusqu’au rivage ; y a-t-il toujours des barques et des pêcheurs ? Je la voyais, je ne la vois plus. La nuit il me semble encore entendre les flots. C’était si doux d’écouter le frôlement soyeux qui ne blesse pas le silence…"
Lecture: Christiane-Jehanne
Durée: 01h08min Fichier Zip de 95 Mo (il contient des mp3)
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Heures d’Hiver, prose poétique
Texte d’une profonde humanité.
Prose poétique subtile de cette auteure franco_suisse.
Les heures s’égrènent, heures d’hiver, heures de Vie.
« Pourquoi notre âme n’a-t-elle pas sa neige réparatrice qui recouvre les tableaux désolants, en cache les couleurs tragiques sous sa pacifiante uniformité ? La Neige a-t-elle entendu ma pensée ? »
Lecture: Christiane-Jehanne
Durée: 01h30min Fichier Zip de 82 Mo (il contient des mp3)
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Une très belle nouvelle épistolaire (de guerre ? d'amour ?) de Michel Provins (1861-1928) parue dans Le Journal le 4 juin 1916.
Lecture: Daniel Luttringer
Durée: 06min Fichier mp3 de 4 Mo
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Heures de Printemps, Prose poétique - Marguerite Burnat provins
Mois de mai, 1939, contexte particulier, aussi les fêtes religieuses, les souvenirs et tout le merveilleux talent de l’auteure…
« Ma vie est un présent perpétuel »
« Il y a, livrés à eux-mêmes, des lauriers hauts et ronds, portés sur de fines jambes noires, de la verveine à demi épuisée, des giroflées teintées de vin et de soleil, des aloès entre les pierres. Le bassin sec est couleur de soif, les chemins couleur d’absence. Le vent soulève des jonchées de palmes séchées couvrant le sol, le mimosa de mille houppes frotte doucement un pauvre mur, comme pour le farder d’or et lui faire croire qu’il vit. La maison me dit : Sais-tu où est la mer ? Mon jardin descendait tranquillement jusqu’au rivage ; y a-t-il toujours des barques et des pêcheurs ? Je la voyais, je ne la vois plus. La nuit il me semble encore entendre les flots. C’était si doux d’écouter le frôlement soyeux qui ne blesse pas le silence…"
Lecture: Christiane-Jehanne
Durée: 01h08min Fichier Zip de 95 Mo (il contient des mp3)
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Heures d’Hiver, prose poétique - Marguerite Burnat provins
Heures d’Hiver, prose poétique
Texte d’une profonde humanité.
Prose poétique subtile de cette auteure franco_suisse.
Les heures s’égrènent, heures d’hiver, heures de Vie.
« Pourquoi notre âme n’a-t-elle pas sa neige réparatrice qui recouvre les tableaux désolants, en cache les couleurs tragiques sous sa pacifiante uniformité ? La Neige a-t-elle entendu ma pensée ? »
Lecture: Christiane-Jehanne
Durée: 01h30min Fichier Zip de 82 Mo (il contient des mp3)
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L'Oubli de la beauté - Michel Provins
Une très belle nouvelle épistolaire (de guerre ? d'amour ?) de Michel Provins (1861-1928) parue dans Le Journal le 4 juin 1916.
Lecture: Daniel Luttringer
Durée: 06min Fichier mp3 de 4 Mo
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