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les koumiassine

(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)

« L’étiquette implacable de la maison Koumiassine séparait à table les deux cousines, qui se retrouvaient ailleurs, à leur grande joie : mademoiselle Bochet était assise entre Zénaïde et Vassilissa Gorof. Vassilissa venait d’avoir dix-sept ans, mais elle en paraissait à peine seize. Le teint fleur de pêcher de ses joues veloutées, l’éclat tendre et malin de ses yeux bleus, – de ses deux pervenches, disait l’excellente mademoiselle Bochet, originaire de Clarens, – le sourire modeste et presque craintif de ses lèvres roses, lui donnaient l’air d’un pastel du siècle dernier.

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