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Illustration: Chroniques érotiques - claude cotard
Site de l'auteur

Chroniques érotiques

(Version Intégrale)

Enregistrement : Audiocite.net
Publication : 2008-04-08

Lu par Ka00
Livre audio de 10min
Fichier Mp3 de 9 Mo

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Documentaliste français, l'imagination florissante a toujours été innée chez Claude Cotard.Elle a bien souvent été un exutoire lui permettant de s'évader d'une réalité pas toujours satisfaisante, principalement dans son enfance.
Une vie pleine de rebondissements et quelques rencontres passionnantes l'ont encouragé à écrire, notamment Auguste Le Breton ou Simone de Beauvoir, mais bien d'autres encore.
Avec de tels encouragements, il s'est donc mis à écrire son histoire, mais aussi ces autres histoires qui lui passaient par la tête.
Entre romans et essais philosophiques, entre poésie et biographie en passant par les chroniques, l'écriture est très vite devenue pour lui une passion.


Quelques poèsies érotiques et sensuelles de l'auteur.


Claude Cotard

Matin fievreux

Elle ouvre les yeux, se réveille langoureusement
Son regard se tourne vers l'homme, amoureusement
Sur le ventre, il dort sa respiration est lente
Ses épaules nues, offertes, musclées, troublantes
Elle soulève le drap et découvre sa chute de rein
Sa peau à une apparence satinée, attirant sa main
Elle ne résiste pas, et le drap choit sur le sol
Deux fesses ouateuses se découvrent, ça l'affole
Sa main ne peut résister à ces formes attirantes
Ces formes offertes à son regard et si tentantes
Et tel un papillon, sa main se pose délicatement
Elle se pose sur ces globes de chairs lentement
Elle le sent frémir, elle adore cette sensation
Cette zone si sensible chez lui, est une passion
Et elle ne s'en lasse jamais de le faire frémir
En le caressant de lui donner un tel de plaisir
Des épaules à cette zone, si érogène,le caressent
Aphrodite sait qu'il ne dort plus, mais paresse
Et elle imagine sa colonne de chairs se dressant
Il gémis, s'offre à sa main, soumis et obeissant
Elle devine la colonne dressée, ressent l'envie
Son antre brûlant et humide déjà appelle sa vie
Son ventre à elle est en effusion et le réclame
Elle le retourne et est envahie par une flamme
Et, elle enfourche cette colonne de chair dressée
À son tour elle gémit, sentant le plaisir s'élever Les va et viens, elle les dirige à un rythme lent
Ses mains caressent ses seins affolant ses sens
Le plaisir est dans son ventre brûlant, excitant
ils montent en même temps que le sien,elle le sent
Alors, elle explose et sent qu'il à fait de même
Repue, à ses côtés, s'étend, sûr qu'elle l'aime.

Rêve d'une nuit
Ma main dans tes cheveux descendent sur ta nuque. Tu frissonne
En plus d'être bonne mère, bonne épouse, serais-tu polissonne ?
Tu joue ton regard malicieux, ton petit sourire me mêt en émoi
Nos mains se frôlent, dessinent des caresses de satin, de soie
Je regarde ton corps bouger, tes formes attirantes, tes hanches
Une chaleur s'empare de moi.Lentement sur ta bouche, me penche
Tes lèvres si fraîches et si gourmandes, attisent le feu en moi
Ta peau de velour, si chaude collé contre la mienne me fais loi
Tes mains expertes se font inquisiteuses et ta langue fouineuse
Mon esprit s'égare et se trouble autant que mes mains amoureuses
Les vêtements tombent,les corps s'emmêlent, jouent sensuellement
Chaque milimetre de peau est frolé, caressé, le tout tendrement.
Nous jouons, explorons, goûtons ces plaisirs intense et charnel
Car sous mes gestes lents, indécents, libertins, tu es si belle
Et du creux de ta nuque au creux de tes reins, je n'aime que toi
De ton cou à tes seins et toujours descendant, j'ai envie de toi.
J'aime quand tu te transforme et deviens une divine allumeuse
Je frisonne quand tu la joue sensualité débordante, charmeuse
Et quand tu fais de moi un objet et celui de ton plaisir même
Alors je fond, deviens l'esclave soumis, offert à celle que j'aime.

Dernier baiser
D'abord mon regard, intense, brûlant et qui se pose sur toi
Puis ton bras qui me frôle, ton sourire qui me donne l'émoi
Ta main légère se pose sur mon épaule, douce, telle la soie

Tu es désirable, tu le sais, alors tu me transmets ta fièvre
Tu t'approches si près que je devine la douceur de tes lèvres
Et je sens la chaleur de tes courbes dessinées par un orfèvre

Oser ne pas oser ? Tu saisis ma main et m'entraines à l'écart
Dans le hall d'entrée, tu te colles à moi, me fixes du regard
Ton ventre est frémissant et tes mains m'explorent au hasard

Nos langues, nos salives qui se mélangent promettent l'enfer
Tu relèves ta jupe, ma main se dirige vers ton ventre, offert
Mais non ce n'est pas l'enfer, juste un paradis, où l'on se perd

Tu ôtes un bouton et tu fais glisser la glissière de mon pantalon
t'empares de ma hampe alors que je caresse ton propre bouton
Les va et viens de nos mains riment nos soupirs, et c'est si bon

Nous atteignons ce plaisir là et qu'il n'est nul besoin d'exprimer
Il se voit, c'est chaud, humide, mais nous devons nous séparer
Et je te quitte là, sur un dernier baiser, après nous être aimés

Tu me regardes m'éloigner dans la rue, avant de fermer ta porte
Il fait déjà nuit et ton manque me donne froid, un taxi m'emporte
Mais je garde en mémoire ce souvenir d'une passion déjà morte.


Carnaval.

Ce soir c'est soirée carnaval, soirée costumée.
Ils apparaissent séparément, lui le loup souriant.
Elle vêtue D'un palazzo, une robe de soie diaphane.
Robe qui la dévoile plus qu'elle ne l'habille.
Sur ses épaules, une cape couleur de la nuit.
Ils se croisent, se sourient, se frôlent, s'attirent.
Elle l'entraîne dans un coin isolé, à l'écart du monde.
Dans une pièce vide, Seul à seule ils se retrouvent.
Elle lui vole un baiser, lui offre une caresse.
Elle dégrafe son corsage. Ri et l'attire à elle.
Ses baisers se font éperdus, aguicheurs, incendiaires.
Bientôt, au pied d'un lit, git une robe en soie.
Elle oublie d'être sage, mais pas de garder son masque.
Un masque de chatte, fabriqué de manière magique.
Papier mâché “cartapesta ” recouvert de feuilles d'or.
Qui est cette inconnue ? Quel est son âge ? Sa condition ?
Mystère du carnaval où tout est permis, anonyme et secret.
Il découvre la courbe de ses seins, leurs douces fermetés.
Il embrasse le creux de son ventre, brûlant, fiévreux.
Elle découvre ce sexe dressé, sa langue, ses caresses.
Il laisse flâner ses mains, ses lèvres sur son intimité humide.
Ils ne cessent de s'aimer, se savourer, s'enivrer de l'autre.
Mais de son visage,de savoir qui elle est, il ne saura rien.
De savoir qui est cet homme qui la chevauche, mystère complet.
Comme ses lèvres sont gourmandes et ses yeux pleins d'envies !
Mais le mystère demeure et cela leur convient parfaitement.
Est-elle épouse ? Mère ? Princesse ? Qu'importe au fond !
Est-il époux ? père ? prince ? Jeune ou pas ? Qu'importe !
Cette nuit c'est carnaval et elle se fait chatte vénitienne.
Cette nuit c'est carnaval, il devient sensuel pour la croquer.
Ce soir ils s'offrent sans retenue un moment de débauche torride.
Qu'importe après tout ? Comme elle il a gardé son masque !
Ce sont deux inconnus dans ce lit aux draps de soie ce soir.
Deux inconnus qui s'aiment sans tabous, sans aucunes retenues.
Qu'importe ? ils se croiseront demain, sans se reconnaître.
Mais jamais ils n'oublieront ces doux instants d'abandon.
Ils garderont en mémoire ces soupirs et ces gémissements.
Ils garderont le plaisir montant au creux de leurs reins.
Il se souviendra du goût de sa peau, de son nectar divin.
Elle se souviendra de cet inconnu, croisé un soir au carnaval.
Cet inconnu qu'elle croise, peut-être, tous les jours.
Et même s'ils s'étaient reconnus, ils feront comme si.
Car sous le masque, ça ne compte pas, tout est permis !
Au bal masqué, c'est la magie du bal costumé, la magie de Venise !


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